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Un cours en miracles




Un cours en miracles
Je suis responsable de ce que je vois. 

Je choisis les sentiments que j’éprouve, et je décide quel but je voudrais atteindre. 

Et tout ce qui semble m’arriver, je le demande, et je reçois comme j’ai demandé. Ne t’y trompe plus, tu n’es pas impuissant devant ce qui t’est fait. Reconnais seulement que tu as fait erreur et tous les effets de tes erreurs disparaîtront.
(T.21.II)

C’est la seule chose que tu aies besoin de faire pour que la vision, le bonheur, la délivrance de la douleur et l’évasion complète hors du péché, te soient tous donnés. 
Ne dis que ceci, mais en le pensant vraiment et sans réserves, car là réside le pouvoir du salut:
Je suis responsable de ce que je vois.
Je choisis les sentiments que j’éprouve, et je décide quel but je voudrais atteindre.
Et tout ce qui semble m’arriver, je le demande, et je reçois comme j’ai demandé.
Ne t’y trompe plus, tu n’es pas impuissant devant ce qui t’est fait. Reconnais seulement que tu as fait erreur et tous les effets de tes erreurs disparaîtront.
Il est impossible que le Fils de Dieu soit simplement poussé par des événements qui lui sont extérieurs. 
Il est impossible que les choses qui lui arrivent ne soient pas de son choix. 
Son pouvoir de décision est le déterminant de chaque situation dans laquelle il semble se trouver par chance ou par accident. 
Ni l’accident ni la chance ne sont possibles dans l’univers tel que Dieu l’a créé, en dehors duquel il n’y a rien. 
Souffre, et tu as décidé que le péché était ton but. 
Sois heureux, et tu as remis le pouvoir de décision à Celui Qui doit choisir Dieu pour toi. 
C’est le petit don que tu offres au Saint-Esprit, et même cela Il te le donne à donner à toi-même. 
Car par ce don t’est donné le pouvoir de délivrer ton sauveur, afin qu’il te donne le salut.
Cette petite offrande, donc, ne la fais pas à contrecœur. 
Retiens-la, et tu gardes le monde tel que tu le vois maintenant. Donne-la, et tout ce que tu vois part avec elle. 
Jamais autant ne fut donné pour si peu. 
C’est dans l’instant saint que cet échange s’effectue et se perpétue. Là, le monde que tu ne veux pas est porté à celui que tu veux. 
Là, celui que tu veux t’est donné parce que tu le veux. 
Or pour cela il faut d’abord que tu reconnaisses le pouvoir de vouloir. 
Tu dois en accepter la force, et non la faiblesse. 
Tu dois percevoir que ce qui est assez fort pour faire un monde peut en lâcher prise, et peut accepter la correction s’il est désireux de voir qu’il faisait erreur.
Le monde que tu vois n’est que le vain témoin que tu avais raison. Ce témoin est insane. 
Tu l’as entraîné dans son témoignage et comme il te le redonnait, tu l’as écouté et tu t’es convaincu que ce qu’il avait vu était vrai. 
Tu t’es fait cela à toi-même. 
Ne vois que cela et tu verras aussi comme est circulaire le raisonnement sur lequel ton «voir» est basé. 
Cela ne t’a pas été donné. 
C’est le don que tu as fait à toi-même et à ton frère. 
Sois donc désireux qu’il lui soit enlevé et remplacé par la vérité. 
Et comme tu regarderas le changement en lui, il te sera donné de le voir en toi-même.